Fermeture de l’aménagement hydroélectrique
de Saint-Narcisse
De concert avec les collectivités
Parc de la Rivière-Batiscan
Un partenaire de choix : le parc de la Rivière-Batiscan
Depuis plus de 25 ans, le parc de la Rivière-Batiscan offre une aire récréotouristique sur les terrains d’Hydro-Québec à proximité du barrage et de la centrale hydroélectrique. Cette collaboration privilégiée en fait un partenaire de première importance dans le projet, notamment pour les suivis environnementaux à la suite de l’abaissement du niveau d’eau du bief amont, l’étude d’utilisation du secteur par l’anguille et la surveillance du site. Soucieuse de limiter son impact sur le milieu, Hydro-Québec adaptera la planification de ses travaux majeurs aux périodes moins achalandées et travaillera en étroite collaboration avec le parc afin de réduire au minimum l’impact des travaux.
Découvrez le parc de la Rivière-Batiscan
Le savoir de la Nation huronne-wendat mis à profit
La mise à l’arrêt de la centrale en 2018 a mené Hydro-Québec à se pencher sur l’écosystème de la rivière et à y réaliser un inventaire faunique, biologique et archéologique, en collaboration avec la Nation huronne-wendat. Ce faisant, nous avons appris que la rivière Batiscan aurait autrefois été un haut lieu de pêche à l’anguille. Vers 2027, la rivière Batiscan retrouvera son état d’origine. Cette particularité du projet amène Hydro-Québec à étudier et à documenter rigoureusement l’effet de son intervention sur l’écosystème local. Pour ce faire, nos équipes collaborent étroitement avec le milieu, notamment avec la Nation huronne-wendat.
Cette collaboration a permis de répondre à une question que se posaient les gens du milieu : y a-t-il des anguilles dans la rivière Batiscan ?
Centrale de Saint-Narcisse-1
Un héritage à protéger
L’histoire de la rivière Batiscan, et plus largement celle de la Mauricie, est intimement liée à l’arrivée de l’hydroélectricité au Québec. L’aménagement de Saint-Narcisse est un témoin important de cette histoire : on y retrouve, encore aujourd’hui, les reliques d'un ancien barrage datant de 1897 ainsi que l’annexe d’une ancienne centrale, construite en 1904. Ceux-ci ont été classés sites patrimoniaux en 1963 par le Gouvernement du Québec. Des discussions avec le milieu sont d’ailleurs en cours en vue de la mise en valeur de ces vestiges du passé.
Questions ou commentaires ?
Nous souhaitons établir un dialogue avec vous et demeurons ouverts à vos questions et commentaires sur le projet.
