Ligne Info-Projet
Montérégie
1 877 653-1139
Au printemps et à l’été 2021, Hydro‑Québec a consulté les représentants du milieu, les groupes environnementaux, les communautés autochtones, les propriétaires touchés ainsi que les résidents et résidentes de la zone d’étude en vue de prendre en compte leurs préoccupations et d’apporter, dans la mesure du possible, des ajustements au projet présenté.
Entre les deux variantes dans la partie nord de la ligne, le tracé retenu est celui de moindre impact : il emprunte le rang Saint-Raphaël, le rang Saint-Claude, la montée Signer, le rang Saint-Marc, la route Édouard-VII et la montée Saint-Jacques, dans les municipalités de Saint-Philippe et de Saint-Jacques-le-Mineur. Ce tracé offre les avantages suivants :
Le tracé retenu totalise 56,1 km pour sa partie souterraine et 1,6 km pour sa partie sous-marine jusqu’au point d’interconnexion à la frontière avec les États-Unis.
La ligne projetée longera l’emprise de l’autoroute 15 sur près de 24 km et l’emprise de routes provinciales et municipales sur 29 km. La ligne sera située en emprise routière sur près de 94 % de son tracé. Elle traversera des terrains agricoles et résidentiels ainsi que des terrains appartenant à Hydro‑Québec sur un peu plus de 3 km.
À l’extrémité sud, le tracé longera le ruisseau Fairbanks jusqu’à la rivière Richelieu, dans laquelle est situé le point d’interconnexion avec le réseau américain à la frontière.
À la lumière des échanges menés lors des consultations, Hydro‑Québec étudie actuellement des mesures d’atténuation particulières qui pourraient être mises en œuvre :
Les échanges se poursuivront dans les prochains mois avec les représentants du milieu d’accueil afin d’assurer la prise en compte de l’ensemble des préoccupations et la planification des travaux de façon à réduire au minimum les inconvénients.
Sur le plan environnemental, la particularité d’un projet de ligne souterraine tel que celui qui est à l’étude est que les principaux impacts sur les milieux naturel et humain sont temporaires, étant principalement associés aux travaux de construction. Il n’y a donc pas ou que très peu d’impacts environnementaux résiduels pour ce projet.
Dans un projet de ce type, les considérations techniques sont aussi importantes (espace sous terre, présence d’autres infrastructures, distances à respecter, etc.).
Afin de relier le poste Hertel au point d’interconnexion de la frontière canado-américaine situé dans la rivière Richelieu tout en réduisant au minimum les impacts associés aux travaux, Hydro‑Québec a notamment tenu compte des critères de localisation suivants :
Afin de déterminer le tracé de moindre impact, Hydro‑Québec a délimité une vaste zone d’étude d’environ 800 km2 pour avoir la meilleure connaissance possible du territoire.
Les équipes spécialisées en environnement ont d’abord réalisé une analyse cartographique de la zone d’étude pour déterminer des axes potentiels à explorer pour l’implantation de la ligne souterraine. Puis, dans la dernière année, des inventaires et relevés environnementaux ont été réalisés sur le terrain.
Pour le milieu humain, les composantes suivantes ont été prises en considération :
Pour ce qui est du milieu naturel, les composantes visées par ces inventaires sont notamment les suivantes :
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Nous souhaitons établir un dialogue avec vous. Nous vous invitons donc à soumettre vos questions et commentaires sur le projet.
Katerine Desforges
Conseillère – Relations avec les autochtones
514 289-2211, poste 3599
Soyez informé de l’avancement des travaux et des différentes étapes de ce projet.
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