L’Institut de cardiologie de Montréal met son énergie à profit
Établissement de santé
Consommer mieux et au bon moment
Un crédit de 55 000 $ sur la facture dès la première année d’inscription à l’option de gestion de la demande de puissance (GDP)
Appui financier
Plus de 100 000 $ pour l’installation d’équipements électriques efficaces.
La décarbonation efficiente au cœur des décisions
« Un petit milieu qui voit grand. » Voilà comment l’Institut de cardiologie de Montréal se définit : une institution qui, malgré ses modestes dimensions et de petites équipes, rayonne dans le monde en raison de l’excellence de sa médecine, de sa recherche et de sa formation. Quand l’Institut a décidé d’accroître sa superficie, il a vu grand – bien au‑delà d’un simple projet d’agrandissement. Grâce à l’appui de partenaires, comme Hydro‑Québec, il s’est doté de solutions énergétiques innovantes pour soutenir ses objectifs de décarbonation.
Investir dans l’excellence
En 2018, l’Institut de cardiologie de Montréal se lançait dans un imposant projet qui, à terme, lui offrirait 40 % plus d’espace pour mieux servir sa clientèle. Modernisation de l’urgence et des unités de soins critiques, construction d’un centre ambulatoire et d’un centre de formation à la fine pointe de la technologie, ajout d’un stationnement sous‑terrain… Tout un chantier ! Mais au‑delà du béton et de la brique, l’Institut y a vu l’occasion de repenser son approche énergétique.
« Dans un hôpital, l’énergie est responsable d’environ 35 % des émissions de gaz à effet de serre, souligne Simon‑Charles Fontaine, coordonnateur des services aux bâtiments. C’est donc 35 % sur lesquels on peut agir en économisant l’énergie, en utilisant mieux nos ressources. Alors, pour nous, ce projet représentait une occasion à ne pas manquer. »
Un appui financier pour en faire plus
Pour mener à bien son ambitieux projet d’agrandissement, l’Institut de cardiologie de Montréal a fait appel à l’entreprise de génie‑conseil Bouthillette‑Parizeau (BPA), reconnue pour son savoir‑faire en génie du bâtiment et en développement durable, et à l’équipe d’Hydro‑Québec.
« Dès le début du projet, notre objectif était d’intégrer des solutions durables et adaptées aux besoins spécifiques de l’Institut, explique Bruno D.‑Longval, vice‑président, Bâtiments institutionnels à BPA. Grâce à une collaboration étroite avec l’Institut de cardiologie de Montréal et Hydro‑Québec, nous avons pu concevoir des stratégies énergétiques performantes qui maximisent les économies et l’efficacité opérationnelle à long terme. »
Cette synergie a permis de structurer le projet en tenant compte des meilleures pratiques en efficacité énergétique et des appuis financiers offerts. Catherine‑Emmanuelle Gosselin, ingénieure commerciale, Jean Raymond, délégué commercial, et Louis Dorval‑Douville, ingénieur commercial, à Hydro‑Québec, ont accompagné l’Institut tout au long du projet et dans ses démarches afin d’obtenir l’appui financier nécessaire à la concrétisation des solutions retenues.
« Notre rôle, c’est d’aider l’Institut de cardiologie de Montréal à bonifier son projet et à maximiser les appuis financiers disponibles, explique Mme Gosselin. En unissant nos expertises, nous avons pu orienter l’Institut vers des choix qui optimisent la performance énergétique tout en facilitant l’accès à nos programmes. »
Grâce à un appui financier de 102 263,10 $ du programme Solutions efficaces, l’Institut a pu intégrer dès le départ des solutions qui, autrement, auraient été hors de portée. « Cet appui nous a permis de faire des choix optimaux dès le début, explique David Langlois, directeur des services techniques. Nous avons investi dans des solutions durables. »
L’option de gestion de la demande de puissance : un pilier de la décarbonation
L’un des piliers de l’approche énergétique adoptée réside dans l’inscription de l’Institut à l’option de gestion de la demande de puissance (GDP). Cette option tarifaire lui donne droit à un crédit sur la facture d’électricité à la fin de l’hiver lorsqu’il réduit sa consommation d’énergie durant les événements de pointe.
Déjà en place au Centre Épic, l’option GDP a fait ses preuves et a permis à l’Institut d’effacer 750 kW. C’est en discutant avec les spécialistes d’Hydro‑Québec que l’Institut a pris la pleine mesure du potentiel d’effacement de l’appel de puissance de 5000 kW, une fois l’agrandissement terminé.
En tant qu’établissement de santé, l’Institut de cardiologie de Montréal était un candidat idéal pour cette option. La nature critique de ses activités l’oblige à disposer de solutions de redondance assurant l’alimentation électrique nécessaire au maintien de ses activités essentielles en cas de panne. Grâce à un système alimenté au gaz naturel, il peut basculer rapidement vers cette source d’énergie lorsqu’Hydro‑Québec envoie un avis d’événement de pointe et mettre son système électrique en veille.
« Nous avons mis en place les mesures nécessaires pour gérer la demande de puissance de façon optimale, avec un minimum d’interventions manuelles, explique M. Fontaine. Cette transition est invisible pour les patientes et patients et le personnel, mais les avantages sont bien réels. »
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